Farmville :
Farmville est un jeu de simulation de ferme. On dirige une ferme virtuelle en plantant, cultivant et en récoltant. Ce jeu a connu un grand succès et est devenu l’application de jeu la plus populaire sur Facebook. On compte des millions d’utilisateurs actifs et des millions de fans. Pour débuter le jeu on commence par créer un avatar personnalisable puis un petit terrain nous ait déjà offert pour commence à le cultiver et à récolter. Ce jeu est basé autour du marché et l’on gagne toujours des gains ou autres choses mais virtuellement.
Dès qu’on se lance dans ce jeu, il est très difficile de s’en détacher. Elodie passe son temps sur internet pour faire de bonnes récoltes puis cumuler ses gains. « A la maison, et au bureau, elle y passe de plus en plus de temps », elle arrive même à oublier ses amis comme elle le dit « j’ai complètement oublié ! Le pot IRL (in real life) ». Plongée dans son jeu, Elodie est obsédée par ses récoltes virtuelles et tente de trouver des excuses pour se connecter par n’importe quel moyen. Au fur et à mesure qu’elle progresse dans son jeu, elle cumule tellement de points que le jeu lui propose encore et encore des avantages. Elle n’est jamais dépassée dans la gestion de ses récoltes alors que dans la vraie vie c’est tout le contraire. Par de simples clics elle arrive à accumuler des gains alors que « in real life » elle n’y arrive pas aussi facilement que sur Farmville.
Les jeux virtuels poussent le client à être cyberdépendant, la vie virtuelle est tellement facile à gérer que l’on se sent bien et on ne veut pas s’en détacher. Pourtant, cela nous fait perdre notre temps et l’on fait abstraction de tout simplement pour ces jeux. On peut voir aussi que de part la gratuité du jeu, beaucoup de personnes seraient tentées d’essayer et se perdre dans leur dépendance au jeu virtuel.
Le piège LESIEUR :
Quelques lignes sur le Web peut provoquer un immense désastre et cela pour très longtemps. Le cas LESIEUR en est la preuve. Bien que l’affaire date de 2008, de nos jours, la polémique d’une huile contaminée reste d’actualité. Le Web archive tous les données publiées et cela laisse des traces si celui-ci n’est pas régulièrement mis à jour. Le piège LESIEUR a fait naître plusieurs blogs, plusieurs définitions de son huile alors qu’au niveau des médias classiques, cela n’a pas eu une grande ampleur.
Le Web provoque plus de réactions que les journaux classiques et poussent beaucoup plus de monde à s’exprimer.
Narcisse :
Les narcisses aiment toujours être à la Une des actualités. C’est-à-dire qu’ils passent un temps fou à communiquer avec les autres et à changer régulièrement leur profil pour attirer les regards sur eux. Laëtitia s’aime tellement, tel que Narcisse qu’elle façonne tout pour les beaux yeux des autres. Comme le texte le dit bien : « elle soigne son image en travaillant son reflet jusqu’à obtenir ce qu’elle s’attend elle-même à voir dans le miroir ». Dès que les réactions de son public sont peu nombreuses, elle est déçue et l’on pourrait dire qu’elle se sent mourir face à ce non-retour des autres. Alors, pour garder la popularité, elle informe tout le monde de chaque moment qu’elle vit. Et sans s’en rendre compte, elle ne voit pas qu’en réagissant ainsi elle décrit un amour excessif de sa propre personne. De plus, le site Facebook lui montre bien qu’elle est narcissique en lui renvoyant sur son profil d’actualité : « Laëtitia Lacombe commente sa propre photo de profil ».
En conclusion, dans le monde virtuel et surtout sur des sites de partage de commentaires, nous ne pouvons pas éviter d’être comme Narcisse, car nous sommes toujours à la recherche de « l’idéal moi » et le regard des autres (qui sont le reflet derrière le miroir) compte beaucoup.
Tentative de déconnexion :
Il est bien connu que la campagne est un lieu idéal, pour une personne de la ville, de relaxer quelques temps et oublier ses soucis au niveau professionnel. Mais pour un cyberdépendant, le choix doit se faire à double réflexion car le cadre de la vie rurale n’offre pas les mêmes avantages de la vie urbaine. En effet, loin de la ville nous sommes loin du réseau internet.
Dans le cas de Matthieu, sa tentative de déconnexion dans un « bled paumé » nous montre qu’il valait mieux qu’il reste chez lui à Paris au lieu de partir pour la ferme sachant que son obsession à la connexion est forte. En effet, pour rester connecter, il emporta avec lui son I phone qui, nous le savons bien est une nouvelle technologie qui permet à quiconque, où il se trouve, de rester en ligne sur Internet. Une simple vibration, ou un signal sonore de cet engin, révèle un message pas encore lu.
Matthieu lors de son séjour fait plusieurs tentatives de connexion mais qui aboutissent tous par un échec du fait d’un réseau insuffisant. En voici quelques exemples : les toilettes, la voiture, en pleine prairie, en bref des lieux retirés de tout le monde même des personnes les plus proches (son ami d’enfance). Alors la recherche de réseau devient une obsession constante pour Matthieu qui cède à la tentation en demandant à se rendre à un point de connexion internet. Il découvre ses nombreux messages laissés en suspend pendant une courte durée de déconnexion. On pourrait donc dire que le cyber c’est sa vie.
Par conclusion, je dirai que pour une tentative de déconnexion, il vaut mieux réfléchir à 2 fois au lieu de « vacances » où l’on séjourne. Dans le cas de Matthieu, le retrait en campagne pour un accroc de l’internet, l’a rendu anxieux au lieu de le relaxer et que le retour à la vie urbaine met du sourire à ses lèvres.
Premier « pass » pour Meetic :
Depuis toujours, l’amour est un sujet délicat pour une majeure partie de personne. Trouver ou rencontrer l’âme sœur, sa moitié, son autre, etc… est un sujet devenu une affaire économique. Nous pouvons compter sur les agences matrimoniales sans oublier les sites de rencontres qui sont une manière comme une autre de rencontrer l’âme sœur sur un plan mondial. L’exemple de Meetic nous montre que ce phénomène (rendez-vous avec l’amour) est présent et fonctionne. Mais à long-terme on n’en sait rien. Cependant, les clients sont sans équivoque prient au piège du monde virtuel. Sur le Web on peut mettre ce que l’on veut, dire ou non la vérité. Pour un premier pass sur Meetic, les gens ont tendance à se voiler la face et à enjoliver leur profil. On entre un peu dans l’intimité de la personne et on n’est presque jamais sûre de soi lorsque le site dit que plusieurs personnes sont intéressées à notre profil. Car dès l’inscription le site nous met en contact avec les autres mais sans que ceux-là soient intéressés.
Nous pouvons dire que pour un premier pass, le site essai d’avoir la confiance du client pour que celui-ci sort sa carte de crédit et paye son premier pass alors que lors de l’inscription le site semblait gratuit.